Ajouter aux favoris

Le liseur

Bernhard Schlink

Traduit de l’allemand par Bernard Lortholary

Éditeur : Gallimard • 1996 • 208 pages

En Allemagne, Michaël, un jeune adolescent de quinze ans, tombe amoureux de Hanna, une femme plus âgée. Leur amour se cristallise autour d’un rituel particulier : celui de la lecture. À chaque fois qu’il va la voir, Michaël lui lit une histoire à voix haute. Lorsque Hanna disparaît sans laisser de trace, Michaël est anéanti.
Il la retrouve des années plus tard, alors qu’elle est accusée d’avoir participé à des crimes nazis.
Véritable phénomène de la littérature allemande, ce roman est traduit dans 37 langues à travers le monde, et a même été adapté en film. Puissant, intelligent, inoubliable, Le liseur n’hésite pas de poser des questions qui dérangent.

« Tout au long des semaines que dura le procès, je ne ressentis rien : ma sensibilité était comme anesthésiée. »

Procès d’Auschwitz, Shoah

passé/présent

poignant

Mood du livre
Shoah, culpabilité

Auteur/Autrice

Bernhard Schlink

Né en 1944 à Bielefeld, Bernhard Schlink débute sa carrière d’écrivain avec des romans policiers, dont Le Noeud de Gordien qui obtient le prix Glauser en 1989. Mais c’est véritablement en 1995 avec son roman Le Liseur qu’il devient connu du grand public. Traduit dans 37 langue, c’est le premier texte de langue allemande à atteindre la première position sur la liste des best-sellers publiée par le New York Times. Le roman a été adapté au cinéma sous le titre The Reader en 2008.

en savoir plus

Traducteur/Traductrice

Bernard Lortholary

Bernard Lortholary est né en 1936 à Talence. Traducteur de l’allemand vers le français, ses domaines de prédilection sont la littérature générale, les sciences humaines, les beaux-arts et le théâtre. Il est normalien, agrégé d’allemand et maître de conférences en littérature allemande à la Sorbonne. Enfin, il est éditeur de livres allemands aux éditions Gallimard. Ses traductions les plus connues sont Le Parfum de Patrick Süskind, pour laquelle il obtient en 1992 le Grand prix national de la traduction du ministère de la Culture, ainsi que Le Liseur de Bernhard Schlink qui lui vaut en 1997 le prix Laure-Bataillon pour la meilleure œuvre de fiction traduite durant l’année écoulée.

en savoir plus

Ils en parlent

  • « La force du livre est de n’éluder aucune des questions qui naissent du choc entre le présent et le passé, entre l’amour et le mépris, le désir de comprendre et le besoin de condamner. »

    Le Monde

Panier
Votre panier