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Être sans destin

Imre Kertesz

Traduit de l’hongrois par Natalia Zaremba-Huzsvai

Éditeur : Actes Sud • 1997 • 368 pages

À Budapest en 1944, György est déporté à Auschwitz-Birkenau. Aux côtés du jeune homme de quinze ans, l’auditeur est propulsé dans l’univers des camps d’extermination, arraché à sa vie d’enfant et plongé dans la machinerie des horreurs, des travaux forcés, où lutter pour rester humain est une question de survie.
Imre Kertész a lui-même survivant des camps de la mort, nous livre un récit bouleversant. L’un des témoignages les plus importants de la Shoah. Une lecture essentielle. Imre Kertész a remporté le prix Nobel de littérature en 2002.

« Auschwitz ne constitue pas un cas d’exception, tel un corps étranger qui se trouverait à l’extérieur de l’Histoire normale du monde occidental, mais bien l’illustration de l’ultime vérité sur la dégradation de l’Homme dans la vie moderne. »

Shoah

passé

poignant

Mood du livre
camps de la mort

Auteur/Autrice

Imre Kertesz

Imre Kertész est né à Budapest en 1929. Déporté à Auschwitz à l’âge de quinze ans, cette expérience traumatique marquera sa vie et son oeuvre. Il se consacre pendant dix ans à l’écriture d’Être sans destin, où il revient sur son expérience dans les camps de la mort. Il acquiert une reconnaissance qui lui valent le prix Nobel de littérature en 2002.

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Traducteur/Traductrice

Natalia Zaremba-Huzsvai

Natalia Zaremba-Huzsvai est née à Budapest et vit en France depuis 1983. C’est une traductrice du hongrois vers le français. Elle est diplômée de langues et littératures russe et polonaise à l’université ELTE de Budapest. Alternant d’abord les fonctions de libraire et de traductrice, elle se consacre désormais entièrement à la traduction. Parmi toutes les œuvres sur lesquelles elle a travaillé, on peut notamment citer Être sans destin d’Imre Kertész, édité par Actes Sud en 1998 et réédité dans la collection Babel en 2001.

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Ils en parlent

  • « Cette œuvre dont l’élaboration a requis un inimaginable travail de distanciation et de mémoire dérangera tout autant ceux qui refusent encore de voir en face le fonctionnement du totalitarisme que ceux qui entretiennent le mythe d’un univers concentrationnaire manichéen. »

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