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Le saut d’Aaron

Magdalena Platzová

Traduit du tchèque par Barbora Faure

Éditeur : Agullo Éditions • 2021 • 256 pages

Étudiante en art à Vienne, Berta Altmann est une artiste en quête d’indépendance dans l’Europe des années folles et à l’école d’art avantgardiste du Bauhaus à Weimar. Alors que le continent est déchiré par la guerre et la révolution, Berta cherche sa voie.
Elle part à Berlin et finalement à Prague, rencontre des peintres célèbres et se confronte à l’univers intellectuel dans lequel elle évolue. Pour ce roman, la talentueuse Magdalena Platzova, s’inspire de l’histoire réelle de Friedl Dicker-Brandeis, assassinée à Auschwitz en 1944.
Le Saut d’Aaron est le récit d’une femme résolument empreinte de liberté.

« Même pour le plus idiot et le plus laid des hommes, il se trouve quelque part une femme qui le conforte dans sa certitude d’être un dieu. »

Bauhaus, Shoah

passé

évasion

Mood du livre
antisémitisme, histoire authentique, quête artistique

Auteur/Autrice

Magdalena Platzová

Magdaléna Platzová est née à Prague en 1972. Fille de la dissidente Eda Kriseová et du documentariste Josef Platz, elle se lance dans des études de philosophie. Par la suite elle devient actrice, journaliste et traductrice. Ses livres sont traduits dans plusieurs langues.

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Traducteur/Traductrice

Barbora Faure

Barbora Faure est une traductrice du tchèque et de l’anglais vers le français, spécialisée en littérature générale, en littérature jeunesse et en poésie. Ayant suivi une formation d’ingénieure et une agrégation d’anglais, elle est professeure au lycée Dumont d’Urville, à Toulon. Elle effectue de nombreuses traductions d’ouvrages de vulgarisation pour les éditions Gründ et Time-Life. Elle travaille aussi sur Le saut d’Aaron de Magdalena Platzová publié aux éditions Agullo, Comment j’ai rencontré les poissons d’Ota Pavel publié aux éditions do et Le Grand Chantier de Jan Trefulka publié aux éditions l’Esprit des péninsules.

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Ils en parlent

  • « Dans ce roman érudit, remarquablement traduit par Barbora Faure, Magdalena Platzova brosse le portrait d’une époque, mais surtout d’une femme qui toute sa vie aura tenté de se « débarrasser d’elle-même ». »

    Laurence Péan, La Croix

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