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Le pays du passé

Guéorgui Gospodínov

Traduit du bulgare par Marie Vrinat-Nikolov

Éditeur : Gallimard • 2021 • 352 pages

Dans ce roman insolite, le grand auteur bulgare Guéorgui Gospodinov interroge la tentation de la nostalgie en Europe. Il imagine les effets si nous pourrions tous choisir l’époque dans laquelle nous vivons.
Gaustine, un mystérieux médecin, propose aux patients de sa clinique un soin très particulier: celui de regagner à sa guise le passé. Une invention qui peut sembler merveilleuse… mais qui s’avère très dangereuse lorsqu’elle tombe aux mains des États. Guéorgui Gospodinov nous offre un jeu d’idées formidable aux références littéraires multiples !

« Il y a des mots qui, brusquement, ouvrent des portes inattendues vers d’autres temps. »

avenir

sensuel

Mood du livre
Mémoire, histoire

Auteur/Autrice

Guéorgui Gospodínov

Guéorgui Gospodinov est né à Jambol en 1968. Son premier roman Un roman naturel a remporté un succès public et critique. Salué par la presse pour son originalité, il était une des meilleures ventes en Bulgarie et a été traduit dans vingt-trois langues. Il est aujourd’hui considéré comme une figure majeure de la littérature bulgare.

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Traducteur/Traductrice

Marie Vrinat-Nikolov

Marie Vrinat-Nikolov, née en 1960, est traductrice du bulgare vers le français. Professeure de langue et littérature bulgares et de théorie de la traduction littéraire à l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), elle a notamment travaillé sur Ballade pour Georg Henig de Viktor Paskov et Le pays du passé de Guéorgui Gospodinov. Tout au long de sa carrière, elle reçoit des prix et des distinctions, notamment en 2017, le prix « La Plume » pour la traduction du roman Le Sourire du Chien de Dimana Trankova et en 1990 le prix de la meilleure traduction pour Ballade pour Georg Henig de Victor Paskov.

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Ils en parlent

  • « Beau roman sur le délitement de l’Union européenne, Le pays du passé est le quatrième livre publié en français d’un auteur traduit en 40 langues. Intelligent et savamment désordonné, le texte brosse le tableau d’une Europe contemporaine que Gospodínov voit au mieux en engagée dans sa déconstruction, au pire cimentée par un projet commun, la haine. »

    Libération

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